En réponse à :
23 mai 2007, par FAMo
Dans ce chant il faut faire attention à l’affleure
Car elle est mal en corps d’un ancien mâle au cœur
D’artist’ chaud jeune et tendre qu’un jour ell’ déflora
Après une tempête qui l’avait plantée là
Là où elle est encor’ (d’autres vents ont soufflé)
Que la douleur souvent semble sans but innée
De pensées en soucis sans devenir narcisse
S’est fanée l’impatienc’ la compagne du lys
Sur un pré vert à l’ombr’ de chauds pins sous un charm’
Près de rameaux verdis où serait-elle au calme
La musiqu’ de forêt (...)